Professeur émérite de l’Université Laval, Edwin Bourget est un administrateur de grande envergure qui n’a pas hésité à mettre ses connaissances et son expérience au service du Musée de la mémoire vivante. Il fut successivement conseiller pour les campagnes de financement, administrateur et président de la Corporation
Aujourd’hui retraité, il occupe ses temps libres à la peinture. D’ailleurs, il fait don de plusieurs tableaux au Musée dans le cadre d’événements de financement. C’est bénévolement et avec conviction que M. Bourget a contribué au développement et au rayonnement du Musée. Les membres du conseil d’administration et la direction du Musée le remercient sincèrement.
Cyril Simard a grandi dans un milieu familial stimulant et un environnement culturel exceptionnel à Baie-Saint-Paul. Sa mère tisserande, son père commerçant et un voisinage d’artistes, dont René Richard de qui il a appris le dessin, ont influencé sa vie professionnelle. Architecte, designer et ethnologue, il a voué sa carrière à la promotion du patrimoine et à sa valorisation. Toute personne qui a vécu ou séjourné au Québec a été en contact avec l’une ou l’autre de ses réalisations. Citons, entre autres, le Village canadien de Terre des hommes, la rénovation et l’agrandissement du Musée national des beaux-arts du Québec et l’intégration de l’art à l’architecture (loi du 1 %). M. Simard a aussi servi l’état et publié des dizaines d’ouvrages ne dérogeant pas de ce fil conducteur qu’il nomme la « culture de l’enracinement ». Loin de vivre dans le passé, son travail démontre sa capacité de mettre en valeur notre patrimoine en sachant l’adapter à l’époque actuelle. Cyril Simard a d’ailleurs changé la vie de centaine d’artisans en fondant le Réseau Économusée. Pour le Musée de la mémoire vivante, Cyril Simard est un conseiller hors pair et un véritable ambassadeur.
Laurier Turgeon est professeur titulaire d’histoire et d’ethnologie et directeur du Laboratoire d’enquête ethnologique et de multimédia à l’Université Laval. Il a consacré une grande partie de sa carrière à la reconnaissance et à la mise en valeur du patrimoine immatériel. Il a été chercheur et professeur invité dans plusieurs universités françaises et américaines. Il est l’auteur de nombreuses publications. En 2010, alors titulaire de la Chaire de recherche du Canada en patrimoine ethnologique, il a mis en œuvre une entente de partenariat avec le Musée, laquelle a toujours force et effet. L’année suivante, il dirigeait la première de trois universités d’été tenues au Musée de la mémoire vivante. Il est intimement lié aux premiers projets d’envergure nationale du Musée et au partenariat convenu entre l’Université Laval et notre institution. Le Musée reconnaît en M. Turgeon un collaborateur des premières heures et le remercie sincèrement.
Serge Saint-Pierre détient une maîtrise en arts et traditions populaires. Il a occupé tant les fonctions d’historien que d’ethnologue, notamment pour Parcs Canada au projet des Forges du Saint-Maurice, pour le Musée de la civilisation à Québec et pour le Musée des civilisations à Gatineau. Il a également travaillé à l’Université de Sudbury. Administrateur de la Corporation Philippe-Aubert-de-Gaspé, il sera le lien entre la Corporation et les professeurs de muséologie et d’ethnologie de l’Université Laval. Ses connaissances et ses compétences ont joué un rôle majeur dans l’élaboration des expositions inaugurales du Musée. Il a effectué des recherches et produits des rapports détaillés sur le fournil et le caveau à légumes présents sur le site. De plus, il a établi la politique d’acquisition pour un collectionnement pertinent à la mission du Musée. La contribution de M. Saint-Pierre demeurera gravée dans l’histoire du Musée de la mémoire vivante.
Gilles Marquis s’implique bénévolement dans sa communauté depuis de nombreuses années. L’un des organismes qui a bénéficié de ses services est la Corporation Philippe-Aubert-de-Gaspé. Homme de la première heure, il a travaillé sans relâche pour la mise en valeur du site et la reconstruction du manoir des Aubert de Gaspé qui abrite le Musée de la mémoire vivante. M. Marquis est animé par de grandes valeurs dont l'entraide et le partage. Doté de nombreux talents, il a mené à bien des tâches diversifiées, tant cléricales que manuelles. La contribution de Gilles Marquis est au cœur des réussites de la Corporation et du Musée.
Le Musée de la mémoire vivante bénéficie, depuis sa fondation, de la collaboration indéfectible de l’ethnologue Jean Simard à titre de conseiller scientifique. M. Simard partage ses connaissances tant dans les domaines de l'ethnologie, de l'histoire et de la muséologie. Il conseille et intervient à la demande dans toute autre sphère d’activité dont un musée voué à l’oralité recèle. Outre cette aide bénévole, M. Simard contribue au rayonnement du Musée. Il y vient régulièrement avec collègues et amis afin de leur faire vivre une visite découverte des lieux et de sa mission. Pour ce travail et ce soutien exceptionnel, le Musée de la mémoire vivante est heureux d’accueillir Jean Simard au sein du Cercle de ses membres honoraires.
La Commission touristique du Port-Joli est intimement liée au développement de la Corporation Philippe-Aubert-de-Gaspé. En effet, c’est grâce à un don majeur de la Corporation touristique que la Corporation Philippe-Aubert-de-Gaspé a pu faire l’acquisition et la sauvegarde du site du manoir seigneurial des Aubert de Gaspé. De plus, lors de la construction du Musée de la mémoire vivante, la Commission touristique a renouvelé son appui financier et sa confiance envers la Corporation Philippe-Aubert-de-Gaspé. Toute notre reconnaissance va aux fondateurs de la Commission touristique et aux personnes qui ont perpétué ce travail exceptionnel de développement touristique.
Cécile Dupont a contribué au développement économique et culturel de Saint-Jean-Port-Joli et de la région. Bien qu’engagée pour de nombreuses causes et au sein de divers organismes, Mme Dupont a accepté sans hésitation de mettre son expertise de gestionnaire et son talent de visionnaire au service du Musée de la mémoire vivante. Pendant sept ans, elle a siégé au conseil d’administration. Elle a collaboré à deux expositions : « Saint-Jean-Port-Joli, une histoire d’amour » et « Émilie Charmard, femme d’avant-garde », sans compter les heures de bénévolat consacrées pour l’établissement et la reconnaissance du musée par le public.
François Trépanier est un collaborateur de la première heure pour le Musée de la mémoire vivante. Il participe activement à ses activités en tant que lieu de mémoire et d'exposition, à son rayonnement et à sa notoriété. En respect avec la mission du musée, il n'hésite pas à lui confier ses souvenirs familiaux, tant matériels qu’immatériels, et à travailler des centaines d’heures pour le plus grand bénéfice des visiteurs. Il a exercé un fort leadership au sein de sa famille et de ses amis dans le cadre de la campagne de financement « Pour que la mémoire reste vivante ». Le Musée de la mémoire vivante rend hommage à François Trépanier en le nommant tout premier « Membre honoraire ».