Cette exposition présente l’association de deux types de portraits, les peints et les immatériels.

Vous apprendrez à connaître des gens qui pratiquent un métier traditionnel, artistique ou intimement lié à l’environnement.

Cette exposition invite à redécouvrir un métier traditionnel encore pratiqué de nos jours : celui de forgeron.

Ces porteurs de connaissances et d’un savoir-faire ancestral sont les gardiens et gardiennes de ce patrimoine associé aux métiers du fer.

Cette exposition présente une œuvre photographique sensible et émouvante comprenant douze portraits grand format de l’artiste Jean-Sébastien Veilleux mettant en lumière le lien singulier qui unit des propriétaires à leurs patrimoines agricoles.

Pour enrichir l’expérience, le Musée présente des extraits de témoignages de quatre propriétaires de bâtiments agricoles situés dans la MRC de L'Islet. Les granges-étables, les fournils et autres bâtiments de ferme témoignent de l’histoire, de la culture.

La pêche à l’anguille se pratiquait déjà le long du Saint-Laurent avant l’arrivée des premiers Européens et elle se fait encore au Kamouraska. Des pêcheurs partagent avec vous leurs savoirs et savoir-faire hérités de leurs ancêtres.

On ne peut présenter cette pêche et son produit sans toucher à plusieurs domaines, dont l’histoire, l’alimentation, l’environnement, la biologie et, même la santé. Venez et laissez-vous surprendre par des faits exceptionnels.

La chanson traditionnelle francophone est présente non seulement en France, mais aussi à travers l’Amérique du Nord. Par son riche répertoire, elle raconte autant les joies que les malheurs de la vie et est portée par ceux et celles qui depuis des siècles la font vivre.

Écoutez des passionné(e)s vous raconter leurs souvenirs, tendez l’oreille aux chansons enfantines, découvrez des chansons parmi le vaste répertoire traditionnel francophone et plongez vous au cœur d’une soirée de chants grâce à une salle spécialement conçue à cet effet.

Nous vous convions ainsi à une rencontre avec ceux et celles qui, jeunes ou moins jeunes, portent ces chansons et partagent leur passion.

Cette exposition sera pour toutes et tous une occasion d’admirer l’un des savoir-faire de nos arts textiles.

Une sélection de dessins et de courtepointes réalisés par Estelle Dumas compose cette exposition nourrie des souvenirs et des histoires de trois générations d’une même famille

Véritable capitale de l’industrie de la chaussure au début du XXe siècle, la basse-ville de Québec a connu de grands changements. En partenariat avec les Archives de la Ville de Québec, cette exposition, couvrant plus d’un siècle de souvenirs, témoigne de l’évolution des quartiers Saint-Roch et Saint-Sauveur par les photos et les témoignages de gens qui y ont vécu.

Dans les années 1980, l’Institut québécois de la recherche sur la culture entreprend un chantier d’enquêtes appelé « La culture populaire ». La volonté de l’IQRC (aujourd’hui l’Institut national de la recherche scientifique) était d'étudier les aspects sociaux et la culture industrielle en basse-ville de Québec. Dans le cadre de ces enquêtes, plus de 150 personnes ont témoigné de leur vécu. Des extraits de ces témoignages vous accompagnent tout au long de l'exposition « Vie de quartier - Mémoires de la basse-ville de Québec ».

Le Musée de la mémoire vivante, grâce à de nombreux témoins, est heureux de vous présenter « Souvenirs de table » : une exposition sur les pratiques alimentaires d’hier et d’aujourd’hui.

Différents temps ont ponctué nos vies : des temps durs, des temps de fêtes et de célébrations auxquels se jouxtent les jours ordinaires. Hélas! Ces derniers sont bien souvent relégués aux oubliettes en raison de leur apparente banalité. Pourtant, ils possèdent une richesse indéniable.

Un parcours d’objets, de photographies et de témoignages a été dressé, telle une table, pour raviver votre mémoire. Invitation vous est faite de venir partager et joindre vos souvenirs à cette exposition. Faites bénéficier la collectivité des savoirs dont vous êtes porteurs.

La Société Duvetnor ltée prête au Musée cette exposition qu’elle a réalisée grâce à des dons d’archives familiales. Ainsi, une vingtaine de photos inédites des îles du Pot à l’Eau-de-Vie et du phare, ainsi que de l’île aux Lièvres sont présentées en grand format et portent une œuvre audacieuse de l’artiste peintre Danièle Lauzon.

Des commentaires audio accompagnent chacune des photos. Ces informations sont non seulement des mises en contexte, mais font découvrir mille et un petits détails témoignant de la vie de gardiens de phare, de bûcherons, de villégiateurs et attirent l’attention sur des détails : parfois un visage, tantôt un objet d’époque.

Des témoignages ont également été joints à l’exposition, dont celui de Lauréat, fils de Michel Castonguay qui a été propriétaire et exploitant forestier de l’île aux Lièvres et un autre de l’artiste décrivant son œuvre faisant partie intégrante de l’exposition.

Du 18 septembre 2016 au 12 mai 2017

#72 : une sculpture, les plans d’élévation d’une maison de Saint-Jean-Port-Joli - d’où la sculpture prend ses sources - qui illustrent une soustraction par déchirure et une pièce sonore : l’enregistrement provenant du son direct du processus d’enroulement de #72.

La sculpture #72 est une réalisation de Jeanne de Petriconi dans le cadre des Pépinières européennes pour jeunes artistes, en 2010, à Est-Nord-Est, résidence d’artistes à Saint-Jean-Port-Joli.

Dix-sept œuvres de Jeanne de Petriconi sont également présentées et commentées virtuellement par l’artiste. Un résumé d’un exceptionnel parcours créatif pré et post séjour à Est-Nord-Est, résidence d’artistes.

Du 5 avril au 30 novembre 2016

Montréal, début des années 1950, Georges de Roy est adolescent et la photographie le fascine.

La passion de l'image saisie sur le vif s'ancre chez le jeune homme. Au fil d'un cours par correspondance et d'une formation au New York lnsti­tute of Photography, sa carrière se profile.

De la ville à la campagne, d'hier à aujourd'hui, il fixe dans le temps des scènes de la vie quotidienne. Se situant entre la photographie humaniste et le photoreportage, ses œuvres sont chargées d'émotions, ces émotions qui façonnent la mémoire humaine.

Le parcours photographique que nous vous présentons ici est commenté par l'artiste lui-même et vous invite à faire incursion non seulement dans la mémoire des sujets et du photographe, mais également dans vos souvenirs.

Dans la société québécoise des années 1900 jusqu’au début des années 1960, tout ce qui touche la naissance fait partie de ces sujets entourés de mystères et de non-dits. Des hommes et des femmes de cette époque vous ouvrent leur mémoire. Ils se souviennent de ce que vos arrières-grands-parents, grands-parents et parents ont eux-mêmes vécu : le mariage et ses inconnus, la grossesse et l’accouchement, la mortalité infantile et maternelle, l’adoption et beaucoup de pratiques aujourd’hui oubliées.

Découvrez, au fil des témoignages, comment des situations parfois cocasses, parfois émouvantes, mais jamais banales, ont été vécues.

Au-delà du portrait est né un tableau de vie unique, comme chacune des personnes qui ont participé à mon projet.

Les modèles, au cours de nos rencontres, ont partagé avec moi l'histoire de leur vie et m'ont confié le récit des événements qui ont façonné leur personnalité. Chacun de leurs souvenirs a été pour moi source d'inspiration, me suggérant symboles, formes et couleurs.

Nous vous offrons ce mélange intime de visages et de voix.

Lise Gauthier

La Fondation Québec Philanthrope, connue avant 2015 sous le nom de Fondation communautaire du grand Québec, a demandé au Musée de la mémoire vivante de créer une exposition itinérante pour souligner les 20 ans (2014) d'existence de cet organisme. C'est ainsi que « Parlons Philanthropie, 20 ans de mémoire vivante » a vu le jour.

L'exposition repose sur les récits et témoignages d'administrateurs, de bénévoles, de créateurs et de bénéficiaires de fonds administrés par la Fondation Québec Philanthrope. Chacun témoigne de l’importance du don de temps, du don d’argent et du partage des compétences.

En 2014, l'exposition a été présentée dans les bibliothèques publiques de la grande région de Québec.

Les jouets sont de véritables tableaux de leur époque. Ils reflètent les valeurs de la société et, la plupart du temps, dépeignent les rôles auxquels les adultes désirent, con­sciemment ou non, initier ceux qui leur succéderont. Ainsi, les jouets transmettent des informations de diverses natures, parfois même insoupçonnées.

Les jouets présentés dans cette exposition datent du début du 20e siècle jusqu'aux années 1990. Ils reprennent vie grâce aux récits qui les accompagnent. Les gens qui, enfants, les ont possédés racontent leurs heures de plaisirs enfantins.

Qu'ils soient achetés, faits maison ou objets usuels transformés par l'imagination, les jouets font revivre des moments heureux endormis dans notre mémoire. Au-delà de l'objet, ils représentent le souvenir de la personne qui les a offerts, ceux avec qui nous jouions, l'événement qui les a fait entrer dans notre vie, ainsi que les décors et paysages qui ont encadré notre enfance.

Tendez la main à l'enfant que vous étiez!

2012-2014

Annette Merkenthaler, sculpteure et photographe allemande, a fait quelques séjours d'artiste au Québec.

Elle sent que le fleuve l'appelle, l’incite à toujours y revenir. De Montréal à Rimouski, elle a pris des dizaines de photos des paysages côtiers, urbains et fluviaux. Ce sont ces photos en continu, comme les images d'un film, qu'elle expose aujourd'hui.

Des témoignages visuels saisis à différentes époques par des photographes amateurs et professionnels de la Côte-du-Sud.

C’est l’occasion de raconter l'histoire de la photographie et des techniques disparues tout en décrivant et illustrant le parcours de nombreux photographes.

Une incursion dans le temps pour découvrir, pour raviver les souvenirs, pour se raconter.

Déjà au milieu du XIXe siècle, sous l’influence des seigneurs de Gaspé, Saint-Jean-Port-Joli attire les touristes en quête de grands espaces.

Au fil du temps, Saint-Jean-Port-Joli acquiert une renommée qui dépasse les frontières et qui est largement portée par ses artistes et artisans de grands talents. On y vient pour la sculpture, les arts textiles, la boîte à chanson et le théâtre. Pour plusieurs, Saint-Jean-Port-Joli évoque une histoire d’amour que ce soit avec les gens, les paysages ou l’hospitalité.

Cette exposition est une invitation à écouter, à regarder et surtout à partager vos souvenirs de vacances. Bienvenue chez nous... On vous attendait.

Raynald Saint-Pierre explique sa passion pour les pièces de poterie anciennes :

« Petit à petit, je me suis intéressé à certains objets anciens et j’ai commencé à les collectionner. Ce fut le cas de la poterie. J’étais quelque peu familier avec la céramique ancienne. Mes parents, qui exploitaient une ferme, se servaient de contenants en grès, dont des saloirs et des cruches. J’ai donc voulu conserver et préserver des pièces plus que centenaires. »

Je suis heureux d'exposer ma collection au Musée de la mémoire vivante et d'en partager l'histoire avec ses visiteurs.